Certaines espèces d’animaux sont considérés comme “nuisibles”, c’est-à-dire que l’on peut les considérés comme des “mauvaises herbes” mais appliqué à la flore. Quelques gestes du quotidien permettent d’éviter de donner un environnement favorable à ces nuisibles (cf. rongeurs, fourmis, blatte …).
1/ Vider les poubelles régulièrement
Les poubelles peuvent contenir de nombreuses choses, incluant de la nourriture et leurs odeurs qui vont avec. Ceci est vrai pour la poubelle de la cuisine, mais il convient de penser à la réalité des faits : certains employés peuvent grignoter sur leur poste de travail et jeter les emballages dans la poubelle la plus proche de leur poste.
2/ Ranger les aliments
Il convient de ne pas laisser traîner de nourriture à l’air libre. Des boites hermétiques permettent de cacher ces aliments. Idem, pour la nourriture dans le réfrigérateur.
3/ Nettoyer la vaisselle
Rincer, ou mieux encore, laver les tasses et autres vaisselles, est une bonne pratique à suivre. Cela concerne la vaisselle dans l’évier de la cuisine, mais également les tasses qui restent sur le bureau avec des odeurs de café.
4/ Rincer avant de placer dans le bac de recyclage
Il arrive que le bac de recyclage ne possède pas de sac poubelle. Dès lors, si des déchets qui contenait de la nourriture sont placés dans le bac de recyclage, celui-ci peut être “taché” par la nourriture et cela va laisser des odeurs. Une bonne pratique consiste alors à rincer les déchets avant de les placer dans le bac de recyclage. Ou alors, tout simplement d’utiliser des sacs spécifiques pour les déchets recyclables.
5/ Surveiller les potentielles fentes autour des fenêtres et portes
Un environnement mal isolé peut laisser “porte ouverte” aux nuisibles. Pensez à avertir la personne adéquate si vous voyez des fentes au niveau des portes et fenêtre. Une bonne étanchéité empêche l’arrivé de certains nuisibles.
Bonus : garder l’échantillon si vous découvrez un nuisible
Si malgré tout un nuisible est repéré, une bonne pratique consiste à conserver ne serait-ce qu’une photo du nuisible, ou mieux encore l’échantillon du nuisible tué, afin que les professionnels puissent identifier avec précision le nuisible pour apporter les mesures adéquates.